Témoignages & Avis des lecteurs

À Paris dans la peau d’un SDF – Tome I : Réédition 2025.
Un ouvrage qui a surpris par son potentiel d’attraction spontanée.

Des personnalités de tous bords ont soutenu l’avènement de ce livre qui apporte le corpus d’explications pour abroger le statut de SDF en France.
Ces personnalités sont ci-dessous présentées, partiellement par l’auteur de l’initiative qui, en même temps, est porte-parole de la démarche pour abroger le statut de SDF en France, et partiellement par les personnalités elles-mêmes.

Pierre ALLARD, maire de Saint-Junien et vice-président du conseil départemental, en charge des finances de la commune de Saint-Junien en Haute-Vienne, assure la présidence du service départemental d’incendie et de secours.

Monsieur Allard était également, ès-qualités, président de l’Acas, l’organisme dont relevait le Centre d’hébergement provisoire de Saint-Junien auquel le gendarme anonyme m’a donné accès un vendredi 2 avril, à environ une heure du matin.

Par son action d’élu de terrain, Monsieur Allard a fourni les ingrédients de réformation à partir desquels il a été possible de visualiser la possibilité d’abroger le statut de SDF en France et de l’envisager comme un acte civilisationnel.

Laurence ROCH, anciennement mais à l’époque, présidente de l’antenne locale du Secours Populaire de Saint-Junien en Haute-Vienne, fut à l’origine de la décision de publier À Paris dans la peau d’un SDF en 2010. Madame Roch, quatrième debout à partir du haut de l’image à gauche, fut ainsi la première personne à considérer le récit de l’immersion dans le monde des sans abri comme un véritable support de réformation sociale. En effet, c’est en tant qui présidente d’une antenne du Secours Populaire qu’elle prit connaissance des notes qui vont devenir le premier manuscrit du livre et le début d’une aventure incroyable.

Jean SEBILLOTTE, Scientifique, Ingénieur, Artiste-Peintre Écrivain, a été le premier écrivain français à publier un avis après avoir lu la première édition d’À Paris dans la peau d’un SDF. Il fit ses remarques avec sincérité, le faisant après avoir compris que l’auteur était un anglophone pratiquant la langue française par opportunité.

« J’ai apprécié ce livre écrit par un francophone. Le fond est à privilégier sur la forme. À lire cette expérience étonnante. »

Pierre DUPUY a ajouté une deuxième préface à la nouvelle édition de ce qui constitue la base explicative pour abroger le statut de SDF en France. Monsieur Dupuy a tenu à préciser le cheminement qui a fait naître la deuxième préface de cette réédition d’À Paris dans la peau d’un SDF.

« C’est une cause à laquelle je tiens et qui, j’en suis convaincu, pourrait changer la donne de la lecture si on l’abordait autrement qu’on ne le fait. »

Monsieur Dupuy, en tant que passionné du livre numérique, défriche un terrain de promesses et catalyse un univers qui reste à explorer.

La deuxième préface revêt, à ce titre, une grande importance et un questionnement prospectif auquel l’idée d’abroger le statut de SDF en France entend donner l’ampleur qui était en arrière-plan de l’expérience immersive dans l’univers du sans-abrisme.

Prospective

Le « livre numérique » et ses indispensables guillemets

Ibrahim Alabi ORIDOTA, auteur de l’initiative pour « abroger le statut de SDF en France », est un empiriste.

Il observe les politiques publiques et les phénomènes socio-économiques depuis plus de quatre décennies. À ce titre, il a déjà postulé que le « livre numérique » -qui n’est pas un objet physique, mais du texte-, dont le support, non moins physique, est néanmoins un serveur de stockage à l’opposé du rayonnage libraire ou bibliothécaire pour le livre-papier, est peut-être l’avenir du livre, mais que celui-ci n’a pas encore commencé sa propre épistémologie.

Sur les plans pratique et idéologique, le modèle qui sous-tend l’économie du livre numérique est encore divergeant de celui qui régit les économies capitalistes ou socialistes à l’échelle de la planète-terre. Dans son déploiement actuel et son mode de consommation-économique, le « livre numérique » peut parfaitement s’affranchir des plans comptables locaux. Il peut contourner les législations nationales sur la consommation. Il peut méconnaître les intérêts des maisons d’éditions et, surtout, de ceux des auteurs qui passent des heures, des jours, des nuits, quelques fois pendant des années, à leur travail de création.

Ces observations permettent à l’auteur d’À Paris dans la peau d’un SDF de postuler que l’économie du « livre numérique » laisse encore de la place pour réfléchir sur la protection de l’intérêt de celles et ceux qui, en tant qu’artisans-producteurs, ouvriers de la plume, fournissent le texte, première matière-première du travail qui nourrit l’économie du livre numérique dont la définition du modèle n’est qu’à son balbutiement. »

Cf. : Extrait d’un texte inédit à paraître prochainement.

A propos de l’auteur

Ibrahim Alabi ORIDOTA, Expert TCD